Pandémie : l'AGU analyse les syndicats pour lutter contre les baisses de salaire
Le STF (Cour suprême fédérale) a reçu une aide hier (10) de l'AGU (Procureur général de l'Union) avec l'intention de retirer l'action des syndicats des négociations individuelles, développées entre l'entreprise et le travailleur, pour retirer le salaire voire même suspendre des contrats pendant la pandémie. En ce sens, l'injonction du ministre du STF, Ricardo Lewandowski, est perçue par le gouvernement comme une insécurité juridique, en même temps qu'il y a des risques dans les relations de travail, qui peuvent entraîner des licenciements. Pandémie: l'AGU analyse les syndicats pour lutter contre la baisse des salaires 15 avril 2020 La session étant prévue le 16 avril, peu de temps après, l'affaire sera examinée par la Cour suprême. Dans le même temps, les magistrats arriveront à l'amélioration du maintien ou non de l'injonction.
Pandémie et AGU lancent un appel au STF
Le Programme d'urgence pour le maintien de l'emploi et des revenus, créé dans le but d'amener les entreprises à négocier avec les travailleurs. Un objectif qui envisage une réduction du temps de travail et des salaires ou la suspension des contrats. Dès lors, une indemnité sera versée par le Gouvernement Fédéral, pouvant atteindre jusqu'à 100% d'assurance chômage liée au droit du travailleur, si le salarié avait été licencié. Selon la mesure provisoire, l'accord individuel peut être conclu avec une rémunération allant jusqu'à 3 135 R$ et avec un salaire supérieur à 12 202,12 R$. L'accord n'est pas conclu par le syndicat, mais s'il y a des abus, il peut être déclenché dans les 10 jours. L'instance souligne qu'il n'est pas envisageable d'avancer avec le soutien du syndicat, cela risque de retarder le service de l'intérêt du salarié. L'estimation de l'AGU du nombre prévu d'accéder au programme est de 24,5 millions d'emplois. Bien que cette taille puisse atteindre une note supérieure à la capacité des entités syndicales en matière de prise de décision. Volume estimé à la moyenne des échanges annuels au Brésil, autour de 45 mille. Le ministre de la STF Lewandowski a fait état de l'autorisation de la Confédération nationale de l'industrie (CNI) ainsi que des centrales syndicales. Bientôt pour accompagner l'action qui discute des mesures du gouvernement pour approuver la réduction des salaires et des heures de travail dans la pandémie par l'organisme AGU.
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